Jerome Tison

J'ai beaucoup de mal à pousser la démarche d'anlaytics. Tjr moins prioritaire par rapport au web/pub etc.. alors que les données côté opérations on les utilise beaucoup moins. Il y a des gens qui n'y croient pas trop mais moi j'y crois.

role précis? directeur planning et en charge de l'animation foncitonnel: Appro, scheduling (mais peu valeur ajouté), support fonctionnel, et définir les bonne pratiques. J'ai une équipe de business process owner (demand planning, supply planning, procurement planningà une équipe de 7. Sur tout le scope groupe BEL.

Ruptures? Je peux pas tout vous dire, on a un taux de service très elevé proche de 99%. En algérie on a eu des soucis de production, une autre marque on a une baisse de capacité.

Quelle manière pour arriver à 99% ? On joue sur la qualité de prévision, l'ajustement de la qualité du stocks, on vise l'excellence opérationnel, on y est pas mais on est bien.

Les stocks c'est beaucoup de cash, mais c'est un bon compromis entre le taux de service. Y'a des personnes qui disent qu'on a un taux de service trop haut et vaut mieux baisser le stock. C'est pas un sujet critique chez nous, on est pas à courir derrière le cash.

Bcp d'obsolescence? Je pense qu'on a un niveau qui est bas par rapport à d'autres

Pbs principales? l'encrage des bonnes pratiques. Mon problème est surtout là plutôt que dans la qualité des outils. Il y a des gens qui s'amuser à calculer les safety stock et ne suivent pas les reco du systèmes. Les gens n'ont pas une confiance absolu sur les outils, et veulent apporter leur touche personnel. Ca donne aux gens d'avoir de la valeur ajouté. On calcul le risque fournisseur et demand pour le safety stock. Et le réappro, on utilise la formule de wilson. 2000 fournisseurs. GPA chez certains fournisseur et chez certains clients.

GPA représente bcp de stock? non pas vraiment. Pas accès au sortie de caisse en europe mais plutot dans le marché nord américains.

remarques: les retailers mettent pas de stocks de sécurité (voir très peu)

[pitch] 

Reactions:

Des clients au canada nous ont imposé de passer en mode VMI. Moi j'ai à la fois l'expertise métier de gestion de stock et excel pour avoir des outils automatisé mais c'est une sujet que je connais bien et qui m'intéresse. Le frein principale est l'accès à la donnée, bcp de clients auront du mal à tout fournir. Les infos dont vous avez besoin, on a vraiment du mal à accéder à toutes les données, c'est un gros point assez critique. Je crains malheureusement que Bel (départ volontaire, restructuration) ne soit pas la bonne cible pour vous. Peut être que les cabinets de conseils pourront mieux identifier les clients qui seraient intéresser par cette démarche.

Travailler en mode agile, accès à la donnée etc... ça sera compliqué dans le milieu agro-alimentaire.

Qui est responsable en cas de rupture?

Si je vous parle de generix ou datalliance ça vous parle? ils on pas de ML mnt mais ils doivent suremnt s'y pencher.

Quand il y a une rupture, un client en profite pour passer plus de commande. Les ruptures sont souvent lié à des petits grains de sables.

les grosses boites ont déjà de très bonnes solutions: JDA, partner chez dassault,

toutes les entreprises dans le dairy utilisent des outils de plannif, donc je ne suis pas sur que la cible soit les grands groupe. Peut être vaut mieux cibler les entreprises de petites tailles.

Et la grande distribution ? Ils sont bcp impacté par votre approche. Eux ils peuvent nous imposer des choses mais nous on peut pas. Si vous arrivez à les convaincre ça sera plus facile d'y accéder par le biais d'un distributeur.

On a du mal à avoir un partenariat avec les distributeurs car ils veulent toucher de % du gain qu'on aura.

Une grosse inértie chez Bel, incapable de réagir rapidement, et on n'a pas la capacité à réagir vite. Incompatible à vos besoin dans le temps pour les levées de fonds...

Les services IT dans des boites comme Bel, c'est des services qui empêchent d'avancer.